Lancé en juin 2017, le consortium européen ReSolve vise à remplacer les solvants traditionnels dérivés du pétrole par des solvants moins dangereux issus de ressources renouvelables. Dirigé par une équipe spécialisée en chimie verte de l’université York au Royaume-Uni et muni d’un budget de 4,3 millions € sur 3 ans, ReSolve s’attaquera en priorité au remplacement du toluène et de la N-méthyl-2-pyrrolidone (NMP).